4e de couverture
Il y a encore quelques mois, Harry Ricks était professeur dans une université américaine et menait une vie tranquille avec sa femme et sa fille.
Aujourd’hui, Harry survit tout juste dans une chambre de bonne crasseuse à Paris, au fin fond du X° arrondissement, et n’a plus aucun contact avec Sa famille.
Alors qu’il croit toucher le fond, la passion fait irruption dans sa vie : elle s’appelle Margit, elle est hongroise et sensuelle. Et très énigmatique : Harry ne devra pas lui poser de questions sur son travail, son passé, sa vie, et ne pourra la voir que deux fois par semaine, à dix-sept heures, dans son appartement du V°.
Comme envoûté, Harry accepte. Mais bientôt se produisent autour de lui d’étranges coïncidences…
Un nouveau cauchemar savamment orchestré par un Douglas Kennedy plus machiavélique que jamais. Un roman noir surprenant dans un Paris inattendu et crépusculaire hanté par les ombres de Simenon et Buñuel.
Mon avis
Douglas Kennedy nous embarque encore une fois par son style, sa manière de mener le suspense tout en finesse. Cependant, je suis restée un peu sur ma faim sur celui-ci. J’ai trouvé la chute un peu bâclée et le scénario m’a moins embarquée que sur ses précédentes oeuvres.
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