4e de couverture
C’est dans la trentaine que la vie m’a sauté à la figure. J’ai alors cessé de me prendre pour le roi du monde et je suis devenu un adulte comme les autres, qui fait ce qu’il peut avec ce qu’il est.
J’ai attendu la trentaine pour ne plus avoir à me demander à quoi cela pouvait bien ressembler, la souffrance et le souci, la trentaine pour me mettre, comme tout le monde, à la recherche du bonheur.
Qu’est-ce qui s’est passé? Je n’ai pas connu la guerre, ni la perte d’un proche, ni de maladie grave, rien. Rien qu’une banale histoire de séparation et de rencontre.
Mon avis
Nicolas Fargues nous propose ici un monologue de plus de 230 pages au cours duquel il relate en détails les déboires de sa vie de couple et amoureuse. La façon de Nicolas Fargues de nous présenter les évènements et leurs conséquences nous met mal à l’aise au point que l’on ne voit pas vraiment l’intérêt de ce livre.
On en ressort avec un sentiment de voyeurisme, de pleurnicherie de bas de gamme, et l’attachement avec les protagonistes n’a pas eu lieu… L’écriture n’a rien d’exceptionnel, sans réelle poésie. le seul point positif : la description enchantée des paysages italiens à certains moments du livre.
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